Death Stranding Director’s Cut Review – Hits différents en 2021
Death Stranding Director’s Cut sur PS5
Il est très étrange de revisiter Death Stranding dans un monde où COVID-19 est devenu une partie si oppressante et écrasante de nos vies. Bien que la situation se soit certainement améliorée au cours de la dernière année et demie, les gens sont toujours obligés de rester chez eux, de travailler à domicile, et il n’est pas exagéré de dire qu’il est devenu beaucoup plus difficile de maintenir nos liens et nos relations avec nos amis et notre famille. . Entrez dans Death Stranding, le tout premier “jeu de brins sociaux” au monde, qui vise à explorer les thèmes de la connexion humaine et de l’isolement.
Death Stranding Director’s Cut s’appuie sur la version 2019 avec de nombreuses nouveautés, ainsi que de petits changements et améliorations pour rendre les premières heures du jeu plus supportables. La configuration est la même : vous incarnez Sam Porter Bridges (merveilleusement animé par Norman Reedus), qui voyage dans toute l’Amérique pour connecter divers avant-postes et bases à un réseau chiral, les ramenant essentiellement en ligne pour une communication plus facile avec le reste de le monde.
J’ai passé en revue les forces narratives et thématiques de Death Stranding assez longuement dans ma critique originale, donc je ne ressasserai plus les mêmes points, mais il convient de noter que même deux ans plus tard, ils tiennent toujours assez bien. Oui, l’histoire elle-même est toujours un non-sens total et même les nouvelles missions du Director’s Cut ne peuvent pas sauver cela, mais ce sont les thèmes et les performances des acteurs qui portent ce jeu.
Surtout maintenant, l’accent thématique sur l’établissement de liens avec les gens résonne très fortement, même s’ils sont parfois largement communiqués de manière ringarde et maladroite. Les acteurs sont totalement attachés à leurs personnages, ce qui se traduit par des performances vraiment exceptionnelles de la part des acteurs à tous les niveaux. Si vous avez détesté Death Stranding pour son histoire, le Director’s Cut ne vous fera pas changer d’avis. Mais si vous avez apprécié le jeu pour ses autres atouts, le moment est peut-être venu de revenir en arrière et de le revisiter.
Le plus gros ajout de Director’s Cut au jeu est le nouvel emplacement de l’usine en ruine. Il abrite les nouvelles missions de livraison qui obligent Sam à s’infiltrer dans son sous-sol pour voler des données, et cela vous oblige à naviguer furtivement autour des MULE qui sont occupés à patrouiller dans la zone. Ceci, en soi, constitue déjà une énorme amélioration de l’expérience de jeu globale; L’un des principaux reproches à propos du jeu original était qu’il était beaucoup trop répétitif et que vous aviez souvent l’impression d’être coincé dans un cycle sans fin de quêtes de récupération. Il y avait des combats éparpillés ici et là, mais le combat n’a jamais été au centre des préoccupations.
Le combat… n’est toujours pas un objectif dans Director’s Cut, mais l’usine en ruine devient disponible au début du jeu et elle semble si nettement différente du reste de l’expérience Death Stranding que je me suis retrouvé à attendre avec impatience plus de ces missions alors que je progressé dans le jeu.
Le simple fait que ces missions se déroulent dans une installation intérieure aide déjà à rompre la monotonie du jeu, car vous passez la majorité de votre temps en plein air à faire des livraisons. Les missions d’usine ne ressemblent pas vraiment à l’expérience furtive ultime de Metal Gear que les fans de Kojima pourraient rechercher, mais elles sont néanmoins amusantes. Alors que j’ai à peine touché l’outil Strand lors de ma première partie, je me retrouve à m’y fier beaucoup plus alors que je me faufile sur les MULE et essaie de les éliminer tranquillement.
Les missions sont intercalées entre les livraisons régulières et elles deviennent de plus en plus difficiles à mesure que vous plongez plus profondément dans l’usine. Les aménagements environnementaux deviennent plus complexes, les MULE commencent à présenter un plus grand défi et leurs itinéraires de patrouille deviennent plus difficiles à lire ; Même en tant que quelqu’un qui trouvait thérapeutiques les livraisons et les randonnées répétées, j’attendais ces missions avec impatience et je m’assurais de les entreprendre dès qu’elles deviendraient disponibles.
Dans les jeux originaux, les MULE étaient décrits comme une faction de personnes qui se défonçaient en volant des colis et ils ont ensuite été renvoyés. Bien qu’ils obtiennent un peu plus de temps d’écran dans Director’s Cut, mon impression générale d’eux en tant que faction aléatoire d’humains qui ont été ajoutés au jeu juste pour lui donner un peu plus de variété d’ennemis n’a pas changé. Si vous êtes un passionné des traditions de Death Stranding, vous apprécierez ce que les nouvelles missions ont à offrir, en particulier au fur et à mesure que vous les approfondissez. Si vous n’êtes qu’un joueur occasionnel qui apprécie le jeu pour son ambiance plutôt que pour son récit, eh bien, le combat est plutôt amusant. Et ces missions sont complètement facultatives de toute façon.
Même si vous finissez par sauter la plupart de ces missions – ce que je ne recommande pas – il y a encore beaucoup à apprécier dans le Director’s Cut. Les premières heures sont beaucoup plus simples et accessibles pour les nouveaux joueurs et les vétérans ; le squelette de puissance, qui est de loin l’outil le plus précieux de tout le jeu, devient disponible beaucoup plus tôt qu’il ne l’était auparavant. Alors que la plupart des nouveaux équipements sont enfermés dans les chapitres 3 et au-delà, le pistolet Maser vous est également donné très tôt, et c’est un outil très amusant avec lequel jouer.
Le pistolet Maser fonctionne essentiellement comme un pistolet paralysant hautement sous tension qui zappe vos ennemis avec une charge électrique lorsque vous visez et tirez dessus. C’est à peu près parfait pour les rencontres furtives, et c’est juste un autre excellent ajout au répertoire amusant d’armes de Death Stranding. C’est devenu mon arme de prédilection à côté du Bola Gun, et cela a également rendu les rencontres MULE beaucoup plus agréables.
Parmi les autres ajouts intéressants, citons le Buddy Bot, qui est essentiellement un robot compagnon qui vous aide à transporter des marchandises. Il y a la Cargo Catapult, qui vous permet de vous tirer (ou d’autres objets) sur de longues distances. Ensuite, il y a aussi la nouvelle fonctionnalité de pistes de course, qui vous permet de créer des pistes dans le monde ouvert, et vous pouvez établir des records avec n’importe quel véhicule du jeu et rivaliser en ligne avec d’autres joueurs.
Ce sont tous des ajouts amusants qui sont en grande partie sans conséquence, mais ils contribuent à rendre vos livraisons beaucoup plus efficaces, ce qui est une aubaine pour quiconque n’a pas vraiment apprécié cet aspect du jeu.
Revenir à Death Stranding deux ans plus tard, c’est différent, compte tenu des circonstances mondiales actuelles, mais cela m’a aussi rappelé à quel point j’ai apprécié la solitude qui accompagnait les longs accouchements solitaires de Sam.
Death Stranding Director’s Cut continue d’impressionner par son engagement intrépide à aller chercher des quêtes en plus des quêtes, et encore une fois, cela ne changera pas d’avis si vous n’avez pas déjà acheté ce qu’il vendait en 2019. Mais si vous l’avez fait , le Director’s Cut améliore et enrichit cette expérience originale, et vous serez heureux de vous replonger dans celle-ci.
Coupe du réalisateur Death Stranding
Réviseur : Zhiqing Wan | Décerner: Le choix des éditeurs | Copie fournie par l’éditeur.
Avantages
- Les missions de combat permettent de rompre la monotonie des livraisons à répétition.
- Les nouvelles armes et équipements rendent les livraisons plus amusantes et efficaces.
- Les accouchements sont toujours relaxants et thérapeutiques.
Les inconvénients
- Le nouveau contenu de l’histoire est juste bien.
Date de sortie
24 septembre 2021
Développeur
Kojima Productions
Éditeur
Sony
Consoles
PS5
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