Fonderie numérique contre Résistance 3
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Il y a quelques semaines, nous avons reçu notre copie du Blu-ray Battle: Los Angeles. Comme beaucoup, la seule raison pour laquelle nous avons acheté ce film tragiquement médiocre était l’inclusion d’un code de téléchargement pour la démo Resistance 3. La chance d’avoir un aperçu rapide du dernier travail d’Insomniac était trop tentante pour être laissée passer – nous avions laissé l’E3 sceptique quant aux mérites du jeu et étions certains que plus de temps pratique présenterait une expérience beaucoup plus positive.
Peut-être aurions-nous dû économiser notre argent : en quelques jours, une préversion du jeu riche en contenu est arrivée via Sony, avec une tranche de gameplay presque complète de son introduction initiale jusqu’au segment d’action présenté à la presse Sony E3 conférence : 16 Go de données sur disque qui se sont traduites par quelques bonnes heures de dynamitage qui ont transformé notre opinion sur le jeu.
Resistance 3 n’est probablement pas le jeu de tir le plus avancé technologiquement que nous verrons cette année. En termes de package global, il va être difficile de déloger Killzone 3 ou le prochain Battlefield 3, et comme vous vous en doutez, ce n’est pas une expérience à 60 images par seconde comme Modern Warfare 3. Mais ce qu’il fait bien, c’est de combiner une série de technologies impressionnantes. mises à niveau avec un élément qui n’a pas tendance à attirer l’attention qu’il mérite dans ce secteur du marché des jeux : l’imagination.
Une sélection de captures de gameplay de Resistance 3. Les mises à niveau du moteur sont importantes, donnant un nouveau look et une nouvelle sensation à la série, tandis que les décors peuvent être assez époustouflants.
Les vétérans de la résistance sauront de quoi nous parlons : Insomniac a le don de proposer d’excellentes conceptions d’armes qui utilisent parfaitement l’arrière-plan de science-fiction du jeu. Le fusil Bullseye classique avec ses munitions d’étiquette qui vous permet de “tirer et d’oublier” en sachant que vous atteignez la cible, le Magnum avec ses obus de détonation à distance, et bien sûr l’hilarité du puissant déploiement de bouclier et de feu à travers les murs Auger. Aucune de ces armes ne pourrait exister dans Battlefield ou Call of Duty, mais dans une Terre occupée par des extraterrestres, tout est possible – et il y a une juxtaposition agréable entre la technologie avancée Chimera et les outils lo-fi faits maison de la Résistance éponyme.
Ces armes classiques sont maintenant rejointes par une gamme de nouveaux venus que nous ne vous dévoilerons pas, tous permettant des mises à niveau, ajoutant encore plus à l’expérimentation et à la stratégie des joueurs. À une époque où les tireurs FPS vous lancent des dizaines, voire des centaines d’armes différentes de manière presque jetable, Resistance fonctionne parce que chaque arme est un outil soigneusement conçu et une grande partie du plaisir provient de la détermination de l’étendue de leurs capacités.
Le facteur amusant de Resistance 3 n’est pas seulement dû à la conception imaginative, car le système de contrôle est également bon. Le jeu n’est pas exactement un jeu de tir à secousses dans le style de Call of Duty, mais la réponse du pad est mieux décrite comme “légère mais juste” – rappelant Killzone 3 à cet égard. La mesure de la latence d’entrée est arrivée à 116 ms, comme dans le jeu Guerrilla, bien que les baisses de fréquence d’images aient semblé peser sur la réponse en fonction de l’impact sur les performances.
Le travail de physique et d’effets d’Insomniac est généralement excellent. Le facteur amusant de manipuler les armes conçues de manière imaginative n’est souligné que par les agréables feux d’artifice exposés. Cliquez sur les vignettes pour découvrir les photos en pleine résolution.
Les mises à niveau du moteur que nous voyons dans Resistance 3 servent une combinaison d’objectifs, mais l’élément le plus important est peut-être la façon dont elles améliorent le gameplay réel. Le moteur physique garantit que tout le plaisir que vous avez avec les armes se traduit par une action appropriée à l’écran, avec des niveaux de destruction Battlefield / Frostbite principalement utilisés dans une série de décors interactifs exceptionnels. L’impact de votre armement sur l’environnement et sur Chimera est suffisamment impressionnant, et il y a un réel sentiment de dommages collatéraux au jeu de tir alors que les accessoires volent dans le carnage. Comparez et contrastez avec Medal of Honor, où une lampe reste ancrée à une table même après un coup direct de RPG.
Les améliorations purement visuelles du moteur Insomniac apparaissent comme un hybride de Killzone 3 et Metro 2033. Il y a une multitude de détails complexes dans tous les aspects de l’œuvre et un parcelle de lumières dynamiques et d’ombres en jeu. L’occlusion ambiante est également bien implémentée, ajoutant une couche supplémentaire de profondeur aux environnements, et il y a une multitude d’effets de post-traitement en jeu, y compris de beaux puits de lumière/rayons divins.
Resistance 3 ne lésine pas non plus sur les effets alpha. Le brouillard, la fumée et la poussière sont tous bien utilisés pour ajouter au réalisme de la scène et prennent tout leur sens pendant le combat lancé et les décors basés sur la destruction. Le flou de mouvement basé sur la caméra et les objets fait également partie du cours – quelque chose d’un standard dans tous les principaux titres propriétaires de Sony.
Resistance 3 se délecte positivement de l’utilisation de la lumière et de l’ombre, dont une grande partie est générée en temps réel, offrant une expérience subtile mais effectivement immersive.
Peut-être inévitablement, il y a un compromis dans la mise en œuvre de tous ces nouveaux effets. Dans la démo jouable Battle: Los Angeles, nous voyons que la résolution native a considérablement chuté, passant de 1280×704 de Resistance 2 à un simple 960×704 – une baisse de 25% – et rien dans le code de prévisualisation beaucoup plus récent ne suggère que cela a changé , suggérant qu’il s’agit d’une serrure.
Cela pose un certain nombre de problèmes de qualité d’image. Premièrement, il y a un flou inévitable ajouté pendant le processus de mise à l’échelle. Semblable à Killzone 2, il y a un sentiment que le flou est en fait un élément prévu du style artistique global – après tout, c’est un monde sombre, grungy et sombre qu’Insomniac génère. Cependant, la résolution sub-HD fait ressortir les détails complexes des sous-pixels et semble assez moche dans certains cas, donc tout ce qui se trouve le long des lignes d’arbres ou de clôtures en chaîne souffre en raison de la baisse de résolution.
Conformément aux précédents jeux Resistance, l’anti-aliasing quinconce de la puce RSX (QAA) est en jeu. Cependant, la couverture semble être blitzée par les effets post-processus, donc quelques minutes après le début du jeu, vous remarquerez un alias assez flagrant qui n’est accentué que par la mise à l’échelle. Bien que le QAA soit définitivement là, il est difficile à trouver dans de nombreux cas et l’impression que vous obtenez en jouant au jeu est qu’il y a peu d’anti-aliasing en évidence dans la plupart des cas.
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